• Les disparus qui nous minent

    Aujourd’hui, je choisi de parler des entités humaines qui se nourrissent de nous, interfèrent dans nos vies en nous donnant des pensées  et qui nous rendent malades

     

     

    .  Qui sont-elles ?

     

    Elles sont (pour que j’en ai déduit jusqu’à présent) des êtres qui ne croyaient pas à la vie après la vie. Lors se qu’elles décèdent et se retrouvent en vie, avec leur pleine conscience, comme avant, elles se réfugient en nous dans notre corps énergétique.  Elles utilisent cette énergie pour avoir chaud, se protéger et rester auprès de ceux et  celles qu’elles aiment.

     

    Parfois, ce sont des passants qui servent de refuge à des inconnus. En temps de guerre ou de catastrophes naturelles.

     

     

     

     

     

    -Quels en sont les conséquences ?

     

    La première conséquence est qu’elles sont cancérigènes. Un mot qui fait réagir.

     

    Elles se mêlent de notre vie, de nos décisions et actions. Nous empêchent de bien dormir la nuit et font que nous sommes épuisés.

     

    -Comment les dépister ?

     

    En tant que thérapeute, je les ressens avec ma main droite. C’est comme une énergie autre qui crée une protubérance sur le corps énergétique. Energie généralement chaude et mobile. Elle se rétracte lorsque je pose la main dessus. Elles se planquent... 

     

    Pour les néophytes, il suffit d’observer si l’on est épuisé. Ensuite voir depuis quand et retracer un événement, la perte d’un être cher, être témoin d’un accident (de la route par exemple), avoir visité un hôpital, dans les secteurs où l’on meurt le plus. Gériatries, soins palliatifs etc.

    Observer nos pensées: est ce qu'habituellement j'aurai pensé cela? Cette pensée me fait penser à qui? 

    Penser au disparu avec une tristesse qui ne change pas de vivacité.  

     

    -Que faire ?

     

    Les faire passer. C’est un deuxième deuil et pas évident à faire. Au cabinet les personnes pleurent beaucoup au passage et après, très vite ils sont bien, et peuvent penser à leurs disparus avec joie. C'est le signal qu'ils sont enfin bien aussi.

    Voilà où nous mène une vie sans spiritualité. On ne sait pas que faire quand on est mort et vivant...J'en rencontre beaucoup qui ne croient pas à la vie après la vie, alors personne ne prépare son départ. C'est comme un voyage que l'on sait que l'on va faire, mais on fait semblant que il n'existe pas! Rien dans les poches, rien dans le cœur. Je peut vous dire que cela surprend. C'est navrant de réaliser a quel point une vérité aussi évidente passe sous silence, on vie en ayant peur de mourir, donc on ne vit pas en attendant de mourir pour aller nulle part...Si dans ses proches, une extension de vie gratuite et franchement mortel pour notre hébergeur...J'ai très peux de patients qui n’hébergent personne, même les enfants en ont. 

     


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