-
quels sont les mots que j'utilise lorsque ça ne va pas?
L'émotion, tout en étant souvent très désagréable n'est pas sans répercutions.
Le "Fait chier, ça me gonfle, raz le bol, j'en ai plein le dos,etc" exprimés à haute voix quand rien ne va plus se somatisent. Ils deviennent une réalité physique lorsque la période de tempête s'est calmée.
Par exemple le fait chier, crée des syndromes de colon irritable, une constipation, des maux de ventre qui au fur et à mesure du temps deviennent chroniques. C'est ce que l'on appel la neuroplasticité. C'est à dire que le cerveau crée de nouveaux chemins, nouveaux synapses qui résultent en de nouvelles maladies.
On s'est rendu compte que tout ce qui est exprimé à haute voix où en pensée lors de moments intenses s'imprimaient directement dans la boîte crânienne.
La bonne nouvelle est que cette fonction de neuroplasticité ne vieillit pas avec nous. Elle reste tout le temps active et efficace. (Pour une fois)
Elle à deux façons de s'exprimer. Soit elle va vous donner des maux de ventre et la "chiasse" à chaque période de stresse pour finir par nous le donner de façon permanente, où alors de créer chez nous la constipation.
Il en est de même pour le ça me gonfle et toutes ces expressions répétitives. Ce sera l'un ou l'autre, mais dans tous les cas, il conviendrait de défaire ces chemins neurologiques et d'en créer d'autres, plus à notre avantage. Le stresse nous y sommes exposés chaque jour. A plus ou moins haute dose, l'idéale serait de l'utiliser pour notre bien être.
Mes chemins vers la transformation sont les suivants: ce ne sont que mes chemins et il en existe plein d'autres que nous pouvons créer à loisir.
Le rouge qui est la couleur de stabilité lorsque il est bien placé est la couleur qui nous met dans tous nos états lorsqu'il n'est pas à sa place.
Le rouge appartient dans le bas de notre bassin. A cet endroit nous sommes calmes, équilibrés et on tient debout. J'appel le rouge la couleur culbuto. Ce jouet qui a son poids dans le bas et qui revient toujours debout, peu importe ce qui lui arrive.
En cas de stresse importante il faut se demander "où est mon rouge?"
Il est toujours ailleurs en cas de stresse. Dans la gorge, le ventre, la tête dans les yeux (je vois rouge). Une fois que l'on le repère on s'imagine le repoussant vers le bas du bassin. Lorsqu'il il y est on respire par le nez et on souffle par la bouche. C'est radicale! Le résultat est immédiat!
Comment corriger nos formes neurologiques?
S'imaginer la forme et la couleur de notre mot de passe favori "fais chier" Ca peut être un étron dans la tête tout simplement, où alors un nuage noir etc. Notre imaginaire nous donnera en première pensée l'image. Je reste sur l'étron. J'imagine un étron posé là dans ma tête, sans oublier la mouche qui tournoi autour. Pour le retirer, je peux le faire à mains nues, avec des gants de ménage, avec une pelle et une balayette. Après je m'imagine laver à l'éponge pour tout virer. Comme dans la vraie vie devant un tel cas!
Voilà le chemin neurologique retiré. Que voudrai' je à la place?
Je verrai bien un lingot d'or. C'est cool un lingot. Encore mieux si au prochain stresse un deuxième lingot vient se rajouter au premier.
Comme je sais que ça va finir par se matérialiser dans ma vie, c'est comme un plan d'épargne. Ca peut se matérialiser en de bonnes opportunités, des coups de chance etc.
Pour conclure, un coup de stresse, je repositionne mon rouge, je respire et je vais direct au cerveau nettoyer ce que j'y mets d'habitude et je remplace avec quelque chose que j'aime bien.
Je nous souhaite une excellente création
-
Commentaires